Lorsqu'une petite chute présente un danger de mort !
Familie Schaack
Un tel accident peut se produire n'importe où et n'importe quand, or dans ce cas-ci, cela est arrivé lorsque le petit Louis a passé ses vacances avec les grands-parents à la côte belge.
Dans un restaurant les grands-parents voulaient aller avec Louis aux toilettes et en descendant les marches mouillées des escaliers la grand-mère et Louis tombèrent. A première vue, cela ne semblait pas être vraiment grave et Louis ne montrait aucun signe d'une blessure. Cependant un peu plus tard dans la journée, Louis a dû vomir et les grands-parents décidèrent d'aller tout de suite à l'hôpital à Ostende afin de s'assurer que ce n'était rien de grave.
Comme Louis a dû vomir encore une fois, les médecins décidèrent de faire un « scan ». Le diagnostic fut un choc. Il ne s'agissait pas d'une « simple commotion cérébrale », mais Louis souffrait d'hémorragies internes ; le cerveau était contusionné et Louis devait être opéré d'urgence afin de garder des chances pour survivre.
Souvent, les blessures au crâne sont malicieuses chez les enfants, car généralement, les symptômes n'apparaissent qu'après un certain temps. Louis a eu de la chance que ses grands-parents l'aient tout de suite conduit à l'hôpital, même s'ils pensaient que c'était « par simple précaution ».
Aussitôt ils en informèrent les parents de Louis. La mère était sur le point d'accoucher. « Nous voulions évidemment rejoindre tout de suite Louis et nous sommes partis en voiture alors que mes amis m'ont déconseillé d'y aller, car j'étais enceinte jusqu'aux yeux. » Lorsque les parents sont arrivés à Ostende, Louis était déjà opéré ; une cicatrice traversait son crâne et il allait déjà bien suivant les circonstances. Il était examiné tous les jours et son état s'améliorait de plus en plus de sorte que les médecins étaient prêts à le faire rentrer à la maison à condition qu'il soit sous observation médicale.
Patricia et Patrick Schaack ont tout de suite pensé à Air Rescue. « Tout au début, nous ne savions pas qui pouvait prendre en charge notre petit Louis étant donné qu'il ne pouvait pas être rapatrié par avion, mais seulement en ambulance. » Mais alors, tout allait très vite. LAR s'informait sur l'état de Louis auprès des médecins traitants à Ostende et peu de temps après, le transport en ambulance fut organisé pour le lendemain. « Nous sommes vraiment soulagés d'être membre LAR et la cotisation n'est vraiment pas très élevée et nous avons fait l'expérience à quel point on peut avoir besoin d'eux ! »